10 mai 2008
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14:46
Merci à Placide : http://www.leplacide.com/

Sarkozy vient de mettre un coup d'arrêt au plan de suppression de postes imaginé par Darcos pour l'éducation nationale.
Vous vous souvenez de la foire d'empoigne des candidats de droite lors des municipales de Neuilly avec un certain Arnaud Teullé, candidat soutenu puis désavoué par l'UMP, ancien conseiller de Sarkozy à l'Elysée etc. etc. Eh bien, Darcos va devoir prendre en compte la création d'un poste imposée par Sarkozy.
Eh oui, par décret du Président de la République en date du 2 mai 2008, Arnaud Teullé est nommé inspecteur de l'éducation nationale à l'académie de Paris. Le salaire de ce poste est de 3800 euros mensuels, sans compter les primes et avantages. Pour ce gars là, pas de concours sur dossier, son pote Sarko s'est occupé de lui. Pas de couac, on n'entendra pas Darcos, il a fort à s'occuper avec les manifs d'élèves, de parents d'élèves et d'enseigants protestant contre les suppressions de postes, entre autres. N'oubliez pas le prochain rendez-vous du 15 mai.
Quant à Sarkozy, le "je ne vous laisserai pas tomber" prononcé devant les ouvriers de Gandrange n'était qu'un message subliminal à l'adresse de ses potes de Neuilly, Martinon et Teullé. C'est la république des copains et des coquins.
Vous vous souvenez de la foire d'empoigne des candidats de droite lors des municipales de Neuilly avec un certain Arnaud Teullé, candidat soutenu puis désavoué par l'UMP, ancien conseiller de Sarkozy à l'Elysée etc. etc. Eh bien, Darcos va devoir prendre en compte la création d'un poste imposée par Sarkozy.
Eh oui, par décret du Président de la République en date du 2 mai 2008, Arnaud Teullé est nommé inspecteur de l'éducation nationale à l'académie de Paris. Le salaire de ce poste est de 3800 euros mensuels, sans compter les primes et avantages. Pour ce gars là, pas de concours sur dossier, son pote Sarko s'est occupé de lui. Pas de couac, on n'entendra pas Darcos, il a fort à s'occuper avec les manifs d'élèves, de parents d'élèves et d'enseigants protestant contre les suppressions de postes, entre autres. N'oubliez pas le prochain rendez-vous du 15 mai.
Quant à Sarkozy, le "je ne vous laisserai pas tomber" prononcé devant les ouvriers de Gandrange n'était qu'un message subliminal à l'adresse de ses potes de Neuilly, Martinon et Teullé. C'est la république des copains et des coquins.
