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  • : Réagir : S'opposer activement à l'action de qqch, résister. La devise issue de la révolution française "Liberté, Egalité, Fraternité" étant de plus en plus mise à mal, ce blog est un moyen pour moi de faire partager mes réactions sur l'actualité politique, sociale, etc.
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31 mai 2016 2 31 /05 /mai /2016 10:41

Ils sont nombreux ceux qui ces derniers temps s'en prennent honteusement à la CGT. Ils ne supportent pas que la CGT et ses militants, au côté d'autres organisations syndicales, puissent dire NON et lutter contre la Loi travail. Certains vont même jusqu'à les traiter, entre autres propos insultants, de voyous-terroristes.

 

A tous ceux-là, Camille Senon, 93 ans, rescapée du massacre d'Oradour-sur-Glane en 1944, vient de donner une belle réponse. Elle vient de refuser la proposition du premier ministre de l'élever au rang de commandeur de l'ordre national du mérite. Dans une lettre adressée à Manuel Valls il y a quelques jours elle motive son refus.

 

Accepter cette distinction aujourd'hui serait, explique-t-elle, « renier toute ma vie militante pour plus de justice et de solidarité, de liberté, de fraternité et de paix ». « Dans le contexte actuel il m'est impossible d'accepter de votre part cette distinction (...) alors que je suis totalement solidaire des luttes menées depuis deux mois par les salariés, les jeunes, une majorité de députés et de Français contre la Loi travail que vous venez d'imposer par le 49-3 » Pour elle « pas question d'accepter une décoration venant d'un gouvernement qui ne respecte pas les salariés ».

 

Camille Senon est restée jusqu’à l’aube des années 80, une militante et dirigeante importante de la CGT et du PCF aux Chèques postaux dans le 15ème arrondissement à Paris et à la fédération CGT des PTT. Cette rescapée du tramway d'Oradour-sur-Glane, qui a perdu sa famille dans la massacre des habitants par le détachement de la Waffen-SS Das Reich le 10 juin 1944, est une infatigable militante syndicaliste et féministe. Voir son témoignage : "Nous voyions le village brûler devant nous". Elle continue d'accompagner des groupes à Oradour-sur-Glane, notamment des jeunes.

 

Lorsqu'elle motive son refus par le fait qu'« accepter d'être décorée ce serait renier les engagements de toute ma vie » c'est une belle leçon qu'elle donne à ce gouvernement qui lui n'hésite pas à renier ses engagements.

Camille Senon toujours fidèle au journal l'Humanité © Radio France - Françoise Ravanne

Camille Senon toujours fidèle au journal l'Humanité © Radio France - Françoise Ravanne

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30 mai 2016 1 30 /05 /mai /2016 08:51

Comme souvent, on va entendre dans les médias "les usagers pris en otage" etc.

 

Mais bien entendu, aucune explication sur le pourquoi et les motifs de la grève à l'appel de plusieurs organisations, même si la CFDT vient de lâcher le mouvement avant qu'il ne commence, en retirant son préavis de grève. .

 

Ci-dessous des explications.

 

SNCF les raisons de la grève
SNCF les raisons de la grève
SNCF les raisons de la grève
SNCF les raisons de la grève
SNCF les raisons de la grève
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27 mai 2016 5 27 /05 /mai /2016 00:12

Pour cette huitième journée d'action contre la loi travail, les manifestants s'étaient rassemblés encore plus nombreux à Niort, comme partout en France.

 

Les tentatives de division orchestrées par le gouvernement, qui n'a cessé ces derniers jours de fustiger la CGT, ont eu pour corollaire de renforcer la mobilisation. Comme l'a dit la secrétaire de l'union départementale FO, lors des prises de paroles à l'issue de la manifestation, son organisation soutient la CGT et ses militants face aux attaques du gouvernement, et est totalement solidaire sur l'objectif de retrait de la Loi travail. Il en est de même des autres organisations syndicales qui comme la CGT exigent le retrait.

 

Moment symbolique lors du passage de la manifestation devant le Donjon de Niort, des militants de la CGT spectacle ont déployé une banderole du haut du donjon. Qu'il était beau le monument affichant son refus du recul social : Un recul social ne se négocie pas il se combat ! Une petite prise de la Bastille.

 

Les prises de parole qui devaient avoir lieu rue Victor Hugo ont été délocalisées au pied du donjon où les manifestants sont revenus demander la libération de leurs camarades, cueillis par les forces de l'ordre, dans le donjon, et qui les ont laissé repartir non sans avoir relevé les identités. 

 

Une prochaine journée d'action nationale à Paris est d'ores et déjà planifiée pour le 14 juin.

 

La lutte continue, on ne lâche rien !

 

 

 

 

Contre la Loi travail, encore plus de manifestants le 26 mai à Niort
Contre la Loi travail, encore plus de manifestants le 26 mai à Niort
Contre la Loi travail, encore plus de manifestants le 26 mai à Niort
Contre la Loi travail, encore plus de manifestants le 26 mai à Niort
Contre la Loi travail, encore plus de manifestants le 26 mai à Niort
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24 mai 2016 2 24 /05 /mai /2016 23:30

Depuis plusieurs jours, c'est haro sur la CGT dans la plupart des médias à propos de la lutte menée contre la Loi travail. Ce  mardi soir le journal de 19h de France Inter titrait « Le bras de fer continue entre le gouvernement et la CGT à propos de la loi travail » ; sur France 2 on a eu droit en titre principal du 20 heures à « Le conflit se durcit entre la CGT et le gouvernement » après avoir entendu la veille Nathalie Saint-Cricq aux côtés de Pujadas vomir littéralement sur la CGT et ses dirigeants en dénonçant « une radicalisation tous azimuts » ajoutant « la CGT a décidé de tout faire sauter ».

 

Ces idéologues de service relaient les propos du 1er ministre qui s'en prend à la CGT, l'accusant entre autres de prendre en otage les français ou bien de F Hollande dénonçant un blocage décidé par une minorité. Ils sont plutôt mal placés pour parler de minorité, alors que, ne disposant pas d'une majorité dans ses propres rangs pour faire voter la Loi travail, ils utilisent le 49-3.

 

Mais pourquoi cette stigmatisation de la CGT alors que le mouvement contre la loi travail est un mouvement intersyndical qui regroupe outre la CGT, FO, la FSU, Sud, Solidaires concernant les syndicats de salariés. Et concernant la grève dans les raffineries, celle-ci « se vote à la majorité des salariés avec des scores sans appel » et est également un mouvement intersyndical. Ce mouvement contre la Loi travail fait tâche d'huile puisque d'autres corporations rejoignent la lutte (cheminots, RATP, syndicats de l'aviation civile).

 

En refusant d'écouter le mouvement de contestation sur la Loi travail (70% de la population est contre cette loi), en essayant d'opposer la CGT aux citoyens et d'opposer la CGT aux salariés, ce gouvernement montre une fois de plus son vrai visage. Comme l'a dit après sa palme d'or le cinéaste Ken Loach, « les sociaux-démocrates n’ont jamais été de gauche ! Pour les sociaux-démocrates, la première priorité est que le patron fasse des profits. Ils estiment qu’être de gauche, c’est se mettre au service des entreprises pour qu’ils fassent des profits. »

 

On se souvient du discours de Hollande sur la finance au Bourget, discours qu'il a oublié une fois au pouvoir. Il est d'autres propos tenus début avril 2012 alors qu'il était candidat qu'il est bon de lui rappeler ainsi qu'à son gouvernement. « Quand un président de la République attaque des syndicats qui sont représentatifs, il n’attaque pas tel ou tel dirigeant, tel ou tel permanent, il attaque l’ensemble du monde salarié », lance le candidat PS, qui regrette que les représentants syndicaux soient « méprisés, montrés du doigt ... Je souhaite qu’à partir du mois de mai, il y ait un Président qui réconcilie, qui apaise, qui rassemble »

 

Eh bien dans ce domaine également, le quinquennat de Hollande est un échec.

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20 mai 2016 5 20 /05 /mai /2016 20:52

 

Communiqué CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL

 

 

Toujours déterminé-es : Amplifier la mobilisation, faire respecter la démocratie !

 

Après plus de deux mois de mobilisation des salarié-es, des jeunes, des privé-es d’emploi et des retraité-es, la mobilisation se poursuit et s’amplifie comme le montre cette journée du 19 mai.

 

Cette semaine, le développement d’actions, de grèves dans de nombreux secteurs et de blocages pour obtenir le retrait du projet de loi travail et l’obtention de nouveaux droits, montre que la détermination reste intacte.

 

L’opinion publique reste massivement opposée à cette loi Travail et à l’utilisation autoritaire du 49.3 par le gouvernement.

 

Le gouvernement n’a pas d’autre issue que celle du dialogue avec les organisations qui luttent pour le retrait de ce projet de loi et pour être écoutées sur les revendications qu’elles portent. C’est pourquoi les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires et les organisations de jeunesse, UNEF, UNL et FIDL en appellent solennellement au Président de la République.

 

Des secteurs professionnels sont engagés dans un mouvement de grève reconductible, d’autres vont entrer dans l’action. Les organisations appellent le 26 mai prochain à une journée nationale de grève, manifestations et actions.

 

Les organisations décident de renforcer l’action par une journée de grève interprofessionnelle avec manifestation nationale à Paris le 14 juin, au début des débats au Sénat. Elles appellent à multiplier d’ici là, sur tout le territoire, des mobilisations sous des formes diversifiées.

 

Elles décident également une grande votation dans les entreprises, les administrations et les lieux d’étude qui se déroulera dans les semaines à venir en parallèle au débat parlementaire afin de poursuivre avec les salarié-es et les jeunes les débats sur la loi Travail, obtenir le retrait de ce texte pour gagner de nouveaux droits permettant le développement d’emplois stables et de qualité.

 

La loi doit notamment préserver la hiérarchie des normes, élément protecteur pour tous et toutes les salarié-es.

 

Cette votation sera remise lors d’un nouveau temps fort qu’elles décideront prochainement.

 

Les organisations invitent leurs structures à poursuivre la tenue d’assemblées générales avec les salarié-es pour débattre des modalités d’actions, de la grève et de sa reconduction.

 

Elles se retrouveront rapidement pour assurer l’organisation et la réussite de ces mobilisations et initiatives.

 

Le 19 mai 2016

Loi travail Non merci. Nouvelles mobilisations le 26 mai et le 14 juin
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19 mai 2016 4 19 /05 /mai /2016 17:09

Pour cette nouvelle journée d'action, la mobilisation n'a pas faibli. Plusieurs dizaines de militants avaient en tout début de journée participer au blocage du rond point du centre routier à la Crèche, avec la participation spontanée des routiers eux-mêmes. Descendus de leur camion pour venir échanger, ils ont raconté les conséquences dramatiques qu'engendrerait le projet de loi sur leur rémunération si le texte loi-travail était définitivement adopté.

 

Puis la journée d'action se poursuivait avec une manifestation en fin de matinée dans les rues de Niort. Partis à plus de 500 de la place de la Brèche, la manifestation approchait du millier de manifestants au plus fort du parcours. Les manifestants en appellent au rejet de cette loi travail taillée pour satisfaire le Medef et facteur de régression sociale. Comme l'inscrivaient entre autres sur la chaussée les jeunes du syndicat lycéen, « la précarité n'est pas un métier ». Et à l'adresse de la CFDT qui juge ce projet équilibré, on a entendu le slogan « Berger (NDLR – secrétaire de la CFDT) on n'est pas des moutons ! »

 

Une intersyndicale doit se réunir pour définir les prochaines actions. Mais la volonté est toujours présente de poursuivre jusqu'au retrait de la loi.

Bonne mobilisation contre la Loi travail à Niort ce 19 mai
Bonne mobilisation contre la Loi travail à Niort ce 19 mai
Bonne mobilisation contre la Loi travail à Niort ce 19 mai
Bonne mobilisation contre la Loi travail à Niort ce 19 mai
Bonne mobilisation contre la Loi travail à Niort ce 19 mai
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17 mai 2016 2 17 /05 /mai /2016 22:18

Environ 500 personnes ont défilé ce jour à Niort pour dire leur opposition à la loi El-Khomri.

 

En effet, ce n’est pas parce qu’on peut trouver quelques mesures positives dans ce texte qu'il  serait acceptable, alors qu'il contient dans la réalité 150 pages de reculs sociaux !

 

Comme l'ont dit les représentants des organisations syndicales à l'issue de la manifestation, ce n'est pas parce que le gouvernement a bafoué la démocratie en utilisant le passage en force avec le 49-3 que la partie est finie. En effet, il va y avoir en juin débat au Sénat avant le retour à l'Assemblée nationale.

 

Il est donc nécessaire que la lutte se poursuive pour obtenir le retrait de ce texte.

 

Prochain rendez-vous

à NIORT

Place de la Brèche

le jeudi 19 mai à 11H00

Manifestation du 17 mai à Niort contre la Loi travail
Manifestation du 17 mai à Niort contre la Loi travail
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16 mai 2016 1 16 /05 /mai /2016 14:12

La démocratie a été bafouée par ce gouvernement Hollande-Valls avec l’utilisation du 49-3 pour faire passer sa Loi Travail. Mais ce n'était qu'une première étape et le gouvernement n'a pas muselé le mouvement social. Rien n'est terminé, les fossoyeurs du Code du Travail n'ont pas encore gagné puisque ce texte reviendra à l'Assemblée nationale après être passé au Sénat. Dans cette assemblée, il sera examiné en commission des affaires sociales à partir du 1er juin, puis en séance à partir du 13 juin pour une durée de « deux semaines », a expliqué Gérard Larcher, président Les Républicains du Sénat. Mais rien de bon à attendre là non plus pour les salariés.

 

Gérard Larcher ne s’en cache pas : « On va revenir a minima à la version initiale de la loi El Khomri – celle que nous étions prêts à soutenir – et ajouter des mesures pour la compétitivité des entreprises. » Le sénateur des Yvelines évoque les axes : « Sortie des 35 heures », négociation collective « en priorité au niveau de l’entreprise », « flexibilité, avec par exemple la question du périmètre de la définition du licenciement économique » ou encore réforme de la formation professionnelle ou de l’apprentissage.

 

Tout cela démontre qu'il ne faut absolument pas baisser les bras, et qu'il est plus que jamais nécessaire d'obtenir le retrait de ce projet de loi rejeté massivement par l'opinion publique. Plus de 75% des français sont contre.

 

La journée d'action de mardi doit permettre de maintenir la pression sur ce gouvernement au moment où certaines catégories appellent à la grève contre cette loi travail (Transports routiers, RATP, SNCF, Aéroports, Ports et raffineries).

 

 

Manifestation à NIORT

Place de la Brèche

le mardi 17 mai à 11H00


 

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13 mai 2016 5 13 /05 /mai /2016 16:10

Face à la crainte de ne pas recueillir de majorité pour faire voter la Loi Travail, le 1er ministre annonçait l'utilisation par le gouvernement de l'article 49-3 alors que le débat à l'Assemblée nationale sur le texte était juste commencé. Les députés communistes ont alors annoncé leur intention d'y faire obstacle en déposant une motion de censure avec tous ceux qui à gauche refusait cet oukase.

 

Il fallait donc 58 signataires, seuil requis pour déposer une motion de censure. Pour cela il était indispensable que des socialistes opposés à ce passage en force de la loi viennent rejoindre les parlementaires du Front de Gauche et des écologistes. Chacun sait que cela a échoué à 2 voix près. Ci-dessous la liste des signataires de cette motion.

Frondeurs, pas vraiment, ils préfèrent leur investiture plutôt que le rejet de la Loi Travail

Une fois de plus, les frondeurs n'auront pas répondu suffisamment nombreux pour que cette motion soit déposée. Comme c'est étrange ! Déjà en avril 2014 les 80 députés du PS réclamant « un nouveau contrat de majorité » avaient fait faux bond. Rebelote en septembre 2014 où ils accordaient leur confiance au gouvernement Valls 2. Et face au coup du 49-3 pour le passage en force de la Loi Macron, les députés frondeurs n'avaient pas répondu à l'appel des députés communistes Front de gauche qui n'avaient pas pu déposer une motion de censure.

 

Retenez moi ou je fais un malheur semblent dire par moment les " frondeurs " qui sont appelés parfois sur les réseaux sociaux les " miauleurs ". A juste titre quand on voit comment ça se termine à chaque fois.

 

Faute de motion de censure de gauche pour bloquer le texte de loi, les dix députés Front de gauche ont voté la motion de censure du gouvernement déposée par la droite. Pas sur le contenu du texte de cette motion, mais comme l'a précisé André Chassaigne, parce que « notre censure vise au rejet du projet de loi et à mettre un terme au fourvoiement d’un gouvernement dans les méandres du libéralisme économique prôné par la droite. La motion de censure que nous aurions souhaité déposer avec 46 de nos collègues progressistes visait au rejet de ce texte. » Dans la liste ci-dessus, avec un point rouge ceux qui ont voté la censure. Certains disent qu'il était impossible de la voter parce qu'elle était présentée par la droite. Cela aurait abouti cependant à bloquer le texte de loi, ce qui est bien l'objectif des luttes en cours. Lors des régionales, le PS s'est retirée dans deux régions et a bien appelé à voter pour la droite...

 

Même si la motion n'a pas recueilli le nombre de voix pour faire chuter le gouvernement Valls, la lutte n'est pas terminée. Quant aux " miauleurs " qui à chaque fois semblent dire, « retenez moi ou je fais un malheur », il suffit que la direction du PS les menace de ne pas leur donner l'investiture aux prochaines élections pour que ça les calme.

 

Même si vous avez l'investiture de votre parti de plus en plus à droite, c'est plus probablement l'investiture du Peuple que vous risquez de ne plus avoir. Alors, un peu de courage !

 

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12 mai 2016 4 12 /05 /mai /2016 11:29

 

Motion de censure

150 personnalités ont lancé une motion de censure citoyenne. Vous aussi, ajoutez votre nom pour censurer ce gouvernement !

 

MOTION

Depuis des mois, nous sommes des millions à exprimer notre opposition et notre colère face au projet de loi "travail".

Nous ne voulons pas d’un texte qui facilite les licenciements, permette de contourner la loi dans les entreprises pour abîmer nos conditions de travail et menace notre vie quotidienne.

Le Gouvernement n’a pas de majorité pour voter cette loi, ni dans le pays, ni à l’Assemblée. Il a décidé de passer en force, en utilisant une anomalie démocratique, l’article 49.3 de la Constitution.

Ce Gouvernement n’a plus la confiance des salarié.e.s. Il n’a plus notre confiance.

En ajoutant mon nom à ce texte, je le censure.

 

Pour signer, c'est par ICI

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